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Chimie et voile

A la voile comme au coeur de la chimie, l'ENSCMu est un formidable catalyseur de passion.

Pour obtenir les meilleures performances possibles, de nombreuses équipes de voile n'hésitent plus à  faire appel à  des technologies de pointe pour la conception de leurs bateaux. Ces technologies sont souvent issues de recherches effectuées dans la chimie des matériaux. Ainsi, les voiliers accroissent leurs performances grâce à  l'habileté de leurs skippers mais également par l'implication d'entreprises spécialisées dans le domaine de la chimie lors de leur conception.



La coque


A l’origine en bois, les coques ont évolué au fil des avancées technologiques.

Les coques des voiliers de compétition doivent allier étanchéité, résistance, légèreté, et profil hydrodynamique. Ces conditions nécessitent l’emploi de matériaux polymères renforcés par des fibres de carbone ou de verre.

Les fibres de carbone octroient au polymère des propriétés de résistance mécanique pour un poids réduit.

L’emploi de la fibre de verre nécessite l’utilisation d’un moule, généralement en bois. Deux types de moulages peuvent être effectués : par compression ou au contact


De nombreux organismes marins (animaux ou végétaux) ont tendance à se fixer sur les coques. Des revêtements surfaciques, appelés anti-fouling limitent le développement et la prolifération de ces organismes, qui tendent à ralentir le bateau, en accroissant les frottements avec l’eau. Ces revêtements conçus par des entreprises chimiques doivent satisfaire à une dualité étrange : éliminer les êtres vivants fixés sur la coque tout en étant respectueux de l’environnement marin.

Les voiles


Les voiles sont le moteur du voilier. Elles constituent donc un élément clé de la réussite d’une régate. Elles doivent être tantôt rigides (grand-voile, génois), tantôt légères (spi). Leur propriété commune reste néanmoins la résistance, face aux pressions mécaniques du vent, mais également par rapport aux attaques chimiques du milieu marin, qui est fortement alcalin.

Le spi est une voile placée à l’avant du bateau destinée à pousser le bateau par vent arrière. Elle est très légère, mais également très fragile. La toile peut être tissée en fil de Nylon, bien connu pour sa résistance.



La grand-voile et le génois, beaucoup plus rigides mais également beaucoup plus lourds que le spinnaker peuvent être tissés de fibres de Kevlar qui renforcent leurs structures et limitent les déchirures par ses propriétés de bonne résistance spécifique à la traction.

Cette fibre, qui est issue d’une découverte relativement récente, présente un bon comportement chimique vis-à-vis des carburants mais une mauvaise résistance aux UV.








Il est impossible de citer tous les matériaux issus de recherches dans le domaine de la chimie utilisés dans le nautisme.

Néanmoins, du mât à la quille et de la proue à la poupe, cette technologie que des entreprises tendent chaque jour à améliorer permet d’inventer des défis et de repousser plus loin les limites des records déjà établis.











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